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Au premier regard, Cody est d'un froid glacial à tel point que l'on pourrait parfois se demander, s'il est sujet aux émotions humaine. Il semble hors d'atteinte, de tout atermoiement. Il se moque des états d'esprits de ses amis, comme de ses ennemis. Il ne connait, ni compassion, ni pitié, et il ne s'en n'accorde aucune. Lorsque l'on regarde dans ses yeux, on ne vois qu'un profond dédain et une certaine sévérité.

Pour lui, la vie se limite à des rapports de force. Soit l'on assujetti, soit on est assujetti, cela tient de l'ordre naturel des choses. Les faibles, obéissent aux forts, les forts obéissent, à plus fort qu'eux. Il n'y a rien de plus à dire, rien de plus à savoir.

Pour exprimer la chose d'une autre manière, chaque créature douée de conscience, est à ses yeux forcée de poursuivre une quête de puissance, sans fin. Si elle veut voir son existence perdurer il lui faudra manger, ou être mangé.

Aucune cause, n'est plus louable qu'une autre, elle ne sont jamais que des déguisements pour cacher la vérité de ce monde, un monde intrinsèquement brutal, inique, et même cruel. La morale, c'est pour les faibles. Chacun, doit se faire justice lui-même s'il veut obtenir gain de cause. Chacun est son propre héro, bourreau, et victime. On ne peut reprocher aux puissants d'abuser de leurs pouvoirs, c'est ainsi que la nature est conçue. L'humain doit s'y plier, car après tout..

Il n'est, ni plus ni moins, qu'un animal, comme les autres...

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Au de-là de cette conception implacable de l'existence humaine. Il est possible de considérer chez Cody des traits de caractère plus ou moins "positifs".

Le dragon Slayer de Cristal est, vis à vis de ses alliés, véritablement fidèle, protecteur , intrinsèquement droit dans ses bottes. En clair, il n'a qu'une seule parole et il ne dissimule, ni ne simule jamais ses intentions, bien qu'il ne les verbalises pas nécessairement.

Il est brut de décoffrage, franc du collier, parfois trop, il manque généralement de retenue, respecter les codes sociaux de bien séance lui est difficile. En fait il se moque des conventions sociales, si, il sait qu'il est, la personne la plus "forte" dans la pièce, il va rapidement imposer sa vision des choses quitte à engager un rapport de force.  

Il aime les gens qui partagent, sa vision du monde, autant qu'il déteste, ceux qui en possède une différente, pire encore, pour ceux qui critique ouvertement la sienne. En somme il n'est ni ouvert d'esprit, ni tolérant.

Néanmoins, il y a un levier sur lequel peuvent appuyer ceux qui veulent faire plier le dragon slayer de cristal, simplement lui prouver qu'ils sont plus forts que lui, ce qui, le cas échéant, leur donnera l'occasion de se figurer qu'une fois terrassé, il peut éventuellement se montrer respectueux et coopératif.

Sur le continent d'Heartland, dans le royaume de Fiore, au sein de sa capitale, Crocus. Il y a un quartier aisé. Dans ce quartier, il y a un manoir. Dans ce manoir vie une famille. Depuis des générations, jusqu'à la dégénération. Ike, la famille, Ike. Il y a comme qui dirait, un petit problème avec cette famille. Des rumeurs des bruits de couloirs. On dit que des membres du personnel de la maison disparaissent. Un jour ce fut la bonne de chambre, un autre, la nourice, pour finir, le jardinier. Jusqu'à ce qu'un soir. On toque à la porte de la propriété. Ou devrait-on dire. On frappe. Fort.

Lorsque la porte du manoir cède. Elle tombe comme un pont levi. Elle emporte avec elle ses gonds. Elle sécrase au sol dans un bruit sourd retentissant. La lumière de l'astre lunaire peut alors pénétrer des les lieux qui sont totalement ténébreux. Cette dernière découpe les silouhettes encapuchonnées qui se dessinnent dans l'encadrement. Elles, marquent un temps d'attente. Puis elle se disperces dans l'enceinte lugubre. Avec une organisation minusieuse elles fouillent le lieu de leur regard accéré.

L'endroit est à première vu désert, tout du moins, tout porte à le croire. Or, quelques élèments trahissent la présence d'éventuels occupants qui semblent s'êtres évaporer plus vite que des ombres à la lumière du jour. Il reste encore des braises rougoyantes dans l'âtre. Une assiette encore chaude sur la table de la cuisine. Le robinet de cette dernière coule encore. Le cigare dans le cendrier de la bibliothèque fume encore, son odeur âcre empeste le lieu. Même, la chaise à bascule de la chambre du poupon se balance encore.  

La silhouette encapuchonnée se tient au seuil de la pièce. Elle observe un temps le mouvement erratique de l'objet suposément inanimé. Puis, d'un pas d'une lanteur extrême elle passe le pas de porte. Sous son pas qui se voulait pourtant de velour. Le planché de grince. Encore un instant d'immobilité. Rien ne se passe. Encore trois pas et la voicie au dessus du landau. Elle y tend une main gantée. Pour saisir le bijoux abandonné dont l'éclat discret à attiré son oeil. Une goumette gravée de deux initials. C.I, lit-il, alors, il porte son regard à son propre poignet.

Pour se figurer qu'il a la même. Le même bracelet, maudit bracelet. Qui semble soudainement devenir lourd. A croire que ces deux lettres pèsent de tout le poids des années qu'elles ont passées au bras de leur détenteur. Comme une ancre temporelle qui le ramène constament à cette maudite chambre. Ce maudit landau. Et ces maudits pleures... De bébé qui vont commencés dans... 1, 2... Les voilà. Ils déchirent l'air nocturne. Trahissant, la détresse du petit être qui hurle à s'en égosiller... Mais surtout... Trahissant sa cahette...

Car depuis le début il est-là, dans la, juste derrière les portes à demies ouvertes de la panderie. Il ne peut comprendre se qu'il se passe mais il en ressent toute l'intensité, cette maudite tragédie, cette détresse infinie, elle s'imprègne en lui, au point qu'il, la personnifie.

La silouhette emitouflée pose à présent ses mains gantées sur les battants du placard. Elle l'ouvre pour découvrir qu'il n'y a pas qu'un, mais deux êtres qui se tiennent à l'intérieur. L'un dans les bras de l'autre. Le nourisson dans les bras de sa mère. Elle a peur de lui, tellement peur, qu'elle est pétrifiée. Il ne peut voir son expression. Et pour autant il le sent, il le sait. Car l'emotion de la génitrice transite par son engance pour se répercuter en lui. Car l'enfant qu'elle tient contre elle, n'est nul autre que lui. Et il, est lui. Tout deux ne font qu'un. Soudainement il tend le bras, saisit celui du pleureur. Il tire si sèchement qu'elle, lâche. Alors elle tombe à genoux. Elle le supppli, elle macule ses bottes de ses larmes. Sa seule réponse tient dans le glissement succint de la lame qu'il dégaine. L'éclat de l'âtre silencieux, se réverbère sur son tranchant. Il frappe. Un coup, net, précis. Et elle tombe...

La marre d'hémoglobine se répand au sol. C'est toujours le même sénario. C'est maintenant qu'il commence à suffoquer. Comme le bébé il tient contre lui suffoque. Alors le sol se rapproche, non, c'est lui qui se fond dedant. Car la marre de sang ne semble plus avoir de fond. Petit à petit inexorable. Il descend en elle. Il se laisse couler, comme elle coule, sans plus de résistance, car son dernier désir à cet insant est encore de se réveiller. Mais avant il aimerait faire une dernière chose. Disons plutôt, voir une dernière chose. Le visage de sa mère. Mais il ne peut le distinguer. Non pas que la tête décapitée soit tombée face contre terre. Non...

Simplement, parcequ'elle, n'a pas de visage...

C'est là, qu'il se réveille. Suant et, tremblant. C'est le même cauchemard. Que la nuit précédente, et que celle d'encore  avant. Des fois, il s'enchaîne, et se déchaîne. Des fois, il se fait oublier. Mais jamais il ne disparaît, il est, toujours sous jacent, à la frontière de son subonscient.

On toque à sa porte. Il une affirmation. On l'informe que la déesse le convoque. Il répond encore par une affirmative. Puis il se lève. En tenu d'adam il va pour prendre une douche. Il n'a pas la notion du temps. Il pourrait être la nuit, comme le petit matin. Qu'importe, puisse que la déesse l'a appelé. C'est en passant devant la vasque de son évier qu'il croise son propre regard. Un regard bleuté d'une profondeur insondable. Le miroir est brisé. Lui renvoyant une image fragmentée de son propre visage. Un visage marqué de cernes, d'une expression qui trahie la visite du spectre des années passées, venu lui rendre visite au royaume de Morphée.

En jettant de l'eau glacée sur sa face, à grand renfort de ses deux mains, il espère pouvoir gomer les stigmates de sa nuit. De la sorte, peut être, que ni sa sainte patronne, ni Malik, ni Némésis ne lui poseront de question indiscrète qui aurait tôt fait de le décontenancer. Alors qu'il s'essuit, il croise un nouveau reflet. Que lui renvoi un autre éclat de verre. Celui d'une cicatrice parmie tant d'autres. Plus imposante néanmoins. Elle n'est pas douloureuse, contrairement aux autres. C'est-là où figurait la marque de son ancienne alégance. La même que celle de l'homme qui a tué sa mère, cette nuit fatidique.

Grimoire Heart. Cette maudite guilde. Pendant longtemps. Il pensait être né là-bas. Il croyait qu'ils étaient ses véritables amis. Qu'il n'avait pas de parents, qu'il était un orphelin. Alors ils l'ont élevé comme l'un des leurs, et lui, il s'est comporté comme tel. Il a dépassé toutes leur espérances. Si bien, qu'un jour, il lui on fait une promesse, qu'il ne pouvait tout bonnement pas refuser. Devenir, l'un des leurs, à part entière. L'enfant aux cheveux blancs aurait tout fait à cette époque pour gagner un peu plus de leur attention, de leur respect, de leur admiration. Mais ça n'était qu'une illusion. Car cette quête était sans fin. Même après l'opération. Même après la douleur invraisemblable. Alors que les gemmes de dragon semblaient bruler dans sa chaire. Jusqu'à ce qu'il se demande si l'essence même de son être n'était en péril. Ils lui ont ordonné de tenir. Et il a tenu. Malgré, les nuits de convalescences, malgré l'indiférence.

La seule personne qui s'est souciée de lui. C'est ce chat volant qui est venu se poser à sa fenêtre une nuit. Clint, il s'appelait. Lui aussi bossait pour la guilde noire. L'enfant qu'il était ne s'est pas posé la question de savoir pourquoi le chat ailés s'est intéressé, tout particulièrement à lui. Il sont devenus "amis". Etrange concept au quel le patient n'avait jamais été exposé. Mais c'est vrai qu'il avait une affinité, un lien s'était formé, au de-là des sentiments. Quelque chose de magique. La force dracontique qui prenait place dans son corps endolori semblait en symbiose avec cet être. Un soir, le chat, lui proposa de partir. Vers un autre monde. Où il serait mieux traité.

Car ici, au sein de cette organisation démoniaque. Personne ne lui accordait réellement de valeur. Malgré le nouveau pouvoir qu'il détenait. Il n'était pas une personne, rien de plus qu'une arme organique. Un instrument, tout au plus. Il continua de vivre à leur côté accomplissant les pires besognes, jusqu'à ce qu'il n'y ai plus de doute dans son coeur. Qu'il soit sûr qu'il ne sera jamais aimé pour ce qu'il est, un être doué de sentiments. Cet état de fait fit remettre en cause au dragon salyer, sa propre perception de la valeur qu'il accordait à tout un cahcun. De plus, pour parachever son ressenti. Clint, lui raconta une drôle de fantaisie. Qui n'était, ni drôle, ni fantaisiste. Celle d'un bébé dérobé à sa famille assassinée. Elevé parmis les tueurs de ses géniteurs... Alors, le gamin demanda à son ami, comment est qu'il pouvait connaître le contenu du cauchemard qui le hantait depuis des lustres, lui qui n'en n'avait jamais parlé. Le matou émit alors une simple suggestion qui s'imprima dans l'esprit de Cody comme une véritée marquée au fer brulant.

" Peut être... Que ce cauchemard... N'est pas qu'une pure fiction. "

Cette même nuit, il sembla à Cody, qu'il devenait fou. Fou de rage. Fou de colère. Aussi terrible que la révélation du chat avait fait voler en éclat la version de l'histoire qui tenait en laisse le gamin. L'obligeant à se plier à toutes leurs exigences. Le Dragon Slayer fou, laissa exploser sa colère en détruisant tout le mobilier de sa cellule, si bien, qu'on envoya l'un des meilleurs mage de la guilde le mâter. Le duel fut aussi intense que court. Le meurtrier parvenait à limite de sa réserve magique. Mais il était déterminé à mourir en combattant. Il avait accepté l'idée qu'il était d'ors déjà mort, que sa vie, n'en valait pas la peine.

Dans un instant de battement, où, les deux opposants étaient noyés dans le nuage de poussière de leur combat. Le chat volant, Clint, vint à la rescousse de son ami. Ou, il est plus exact de dire, qu'il le tira du combat pour s'envoler avec lui par l'une des ouvertures vers l'extérieur que son combat avait provoqué. Le compagnon du mage dragon vola haut dans le ciel transportant son fardeau à demi conscient vers une énigmatique destination. Dans son voyage volant le compagnon félin fit ce qu'il avait de toute évidence déjà fait auparavant, traverser la percée d'anima par laquelle il était parvenu à ce monde. Ce qui lui permettrait de changer de dimension, à la manière d'un portail entre deux mondes.

C'est comme ça qu'il s'est retrouvé à Edolas. Le souvenir de cette nuit, est quelque peu diffus. Le reste de son histoire est bien plus consistant et tangible. A son arrivé à Edolas, le jeune homme a prit le temps de reprendre des forces. Le continent était à l'ors en proie à une guerre interne entre une faction séditieuse de l'armée royale. Un certain Skyadrum. Que curieusement Clint semblait connaître. Aussi, le chat lui recommanda de se rapprocher du maître de guerre arguant qu'avec un potentiel comme le sien il trouverai au sein de la dissidence une nouvelle famille. Une famille qui saurait prendre soin de lui. Le reconnaitre à sa juste valeur. Le protéger et l'estimer comme Grimoire n'avait sue le faire.

Or, c'était un mensonge. Le chat avait délibérément menti. Car depuis le début comme Cody allait l'apprendre, le petit être était sous l'influence manipulatrice du maître de la lune sanglante. En effet, son seul "ami" l'avait trompé depuis le début. Il était chargé de ramener des mages à fort potentiel pour les expériences de son maître. "Heureusement" pour Cody son nouveau "chef" décréta qu'il lui serai plus utile en tant qu'instrument de guerre plutôt ,qu'à servir de cobaye pour son futur projet de générateurs d'énergie magique. Car à ce moment précis de l'histoire du nouveau continent, les deux plus puissantes guildes noires s'étaient unies pour vaincre le pourvoir en place sur la capitale. Un certain roi du nom de Mystogan. La guerre fut terrible et pour s'assurer la loyauté de son nouveau poulain Skyadrum lui fit mettre un collier magique explosif. De telle sorte à avoir un droit de vie et de mort instantané sur le Dragon de Crystal.


Rien qu'à se rappeler de ce souvenir. Le jeune homme dans sa salle de bain, face à son miroir brisé, se masse le cou, là où le bijou de son asservissement, tenait autrefois place.

Les années qui suivirent furent tintées de cette saveur de retour au bon vieux temps, ce qui ne fit qu'obscurcir encore un peu l'âme du sabreur aux cheveux blancs. Finalement, la lutte contre les guildes d'Earthland était devenue la lutte contre les guildes résistantes d'Edolas, fidèles au nouveau roi. Jusqu'au jour où, Skyadrum changea ses projet vis à vis de sa personne, le gamin allait donc, finalement, bel et bien servir en tant que cobaye. Le maître de blood moon, avait désactivé le collier du gamin avant de le convoquer dans les locaux de son nouveau laboratoire secret, car depuis un moment déjà, le mage draconique avait gagné la confiance de son propriétaire. Mais tout ne se passa pas comme il l'avait entendu, car dès l'instant où la convocation parvint à Cody, ce dernier comprit ce que le scientifique fou lui réservait. Ce pourquoi...

Cody traça simplement sa route pour s'enfuir jusqu'à Norest où il fit profile bas souhaitant simplement se faire oublier du monde qu'il détestait. L'échos du monde extérieur ne lui parvenait que par intermittence. La lutte entre les différentes factions à l'œuvre, il s'en fichait pas mal, et il s'en fiche toujours d'ailleurs, il n'y a jamais parcipé que par obligation. Car, le jeune homme, après ses années passées à devoir constamment se battre pour sa survie dans un camp ou un autre, à ne pouvoir compter sur personne, l'avaient aigri, pour ne pas dire l'avoir rendu complètement cynique. Le monde n'était plus à ces yeux, qu'une grande arène où on se bat pour prouver aux autre que l'on est le plus fort...

Malgré son style de vie quelque peu reclus. Le Dragon Slayer de part l'originalité de sa magie dont il fessait de temps à autre usage lors de petites missions pour arrondir les fins de mois. Finit par attirer l'attention de la nouvelle faction au pouvoir sur cette région du monde. Il s'agissait d'une certaine Nyx à la tête d'une guilde légèrement familière à la connaissance du mage de crystal. Il fallait s'y attendre. La paix n'est pas faite pour les êtres de son espèce se dit-il. Alors que la nouvelle "Déesse" avait envoyée un émissaire à sa rencontre. Le mage reclus lui dit d'aller se faire... Qu'il ne plierait le genoux que face à plus fort que lui, un individu qui le battrai en combat singulier... Ce qui fut fait rapidement vu qu'un certain Némésis vint lui botter les fesses...

Voilà comment il entra au service de la Maîtresse de la Nuit, plus de force que de gré, pour changer. Même s'il reconnait qu'à défaut d'être plus fort qu'elle ou même qu'un de ses cardinaux. Il lui doit obéissance. A terme, il commence à apprécier être au sein de cette guilde noire, ici il peut véritablement compter sur les autres membres, et il est relativement respecté pour ce qu'il est. Car au sein des soul reapers on ne souhaite pas le transformer en rat de laboratoire, ce qui est déjà un gros progrès, d'autant, que la population de cette partie du monde, montre une certaine forme de respect pour leur maîtresse et ses agents.

Alors, toujours face à son reflet brisé. Il se dit que ce n'est pas si mal, tout n'est pas si sombre, il y a peut être une place pour lui dans ce monde, même si ce n'est qu'une hypothèse. Il est loin d'être le servant le plus zélé de da la cause, néanmoins, il trouve pour l'instant son compte dans le gain de puissance que lui promet cet assujetissement. Car à terme, il compte bien devenir le membre le plus puissant de l'organisation, l'histoire de simplement, regagner sa liberté perdue.