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Quête: Gardez l'oeil ouvert ft. Lizbeth Nightingale
Anonymous
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Ven 22 Mai - 11:37
Résumé de quête:


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Chapitre 3
Gardez l'oeil ouvert
ft. Lizbeth Nightingale


Trois femmes ont été retrouvées mortes chez elle respectivement à Corel, Louen et Baladria. Le mode opératoire est à chaque fois  le même : le meurtrier s’est introduit chez elles dans la nuit en réussissant à déjouer leur maigre sort de protection, les a tué dans leur sommeil, et, en partant, il a laissé un symbole sur le mur écrit avec le rouge à lèvres de ses victimes. Le symbole ne représentant aucune guilde illégale répertoriée, on soupçonne un psychopathe, ou alors une petite organisation très récente.

Voici les seules informations dont Amaya dispose pour sa prochaine mission avec une certaine Lizbeth Nitghingale. Elle n'a jamais entendu parler de cette femme avec qui elle va devoir bosser ces prochains jours, mais ce qui est certain, c'est qu'elle doit réussir, pour être estimée du gouvernement. Comme tous ces crimes se sont produits sur un autre continent, plus précisément à Mideel, pas très loin de Galad, Amaya doit faire ses valises pour partir un certain temps. Le rendez-vous avec sa coéquipière est fixé à Mideel, à Louen, un des lieux du crime qui se trouve au centre du continent. La jeune soldate prévoit d'emprunter un héliport pour se rendre là bas. Mais avant toutes choses, elle prévient tous ses élèves de son absence, sans une petite pointe d'amertume. La dernière fois qu'elle a quitté des élèves, c'était à Midgar. Et elle ne les a plus jamais revu, depuis l'attaque de l'alliance Baram. Et leur mort pèse toujours sur son coeur ; elle se sent toujours responsable de leur disparition, et de ne pas avoir su les protéger comme il le fallait. Elle prie pour que cette catastrophe ne se reproduise pas avant son retour mais la jeune enseignante a quand même la boule au ventre. Au fond, il ne vaut mieux pas qu'elle soit au courant que ses élèves sont réjouis à l'idée de pouvoir échapper, ne serait-ce que quelques jours, à la sévérité de ses entraînements.

Depuis l'héliport, elle regarde les villes et les villages défiler sous ses yeux. Elle imagine la vie des habitants, insoucieux du danger qui les menacent jour après jour, depuis le renforcement de l'alliance Baram. Elle pense surtout à ces scènes de crime, ces femmes qui ont perdu la vie et ces morts pas encore vengées. Elle sert les poings en se disant qu'elle doit tout faire avec cette Lizbeth pour retrouver les coupables. D'ailleurs, elle espère vraiment pouvoir s'entendre avec sa nouvelle coéquipière, elle qui a encore du mal à créer un lien avec les étrangers. Elle voit mal comment elle pourrait accomplir cette mission sans s'entendre avec cette fille. Alors cette quête est une double épreuve pour elle: elle doit à la fois prouver qu'elle est capable de résoudre une enquête et ses propres faiblesses. Et cela allait être difficile, mais Amaya est prête à faire n'importe quoi pour gagner l'estime du gouvernement.

Arrivée sur l'île de Mideel, à Louen, elle se rend très rapidement sur le lieu du crime, une vieille bâtisse située à quelques pas du désert. Devant la maison, elle ne sait pas si elle doit attendre l'arrivée de Lizbeth ou si elle a le droit d'y rentrer seule. Elle se décide alors à l'attendre quelques temps mais sa curiosité est aussi très grande. Elle veut vraiment voir dans quel état se trouve l'intérieur de cette bâtisse. Elle entre dans la demeure avec une légère appréhension, tout en évitant de faire tomber des objets ou faire disparaître les pièces à conviction. Amaya grimpe vers la chambre à coucher. La porte est ouverte, la pièce entourée de rubans interdisant de pénétrer sur les lieux du crime si l'on n'y est pas autorisé. La jeune soldate passe à travers ces rubans et regarde autour d'elle, en sentant un léger frisson parcourir son dos. La violence du crime a dû être sans précédent. Une énorme flaque de sang recouvre le lit et sur le mur, en haut, figure un étrange symbole. Le corps n'est plus là, rendu à sa famille mais Amaya imagine encore le cadavre gisant sur le lit, figé dans une éternelle posture d'incompréhension et de terreur.

Tout à coup, elle entend des pas se rapprocher de la chambre et porte une main près de sa poche où se trouve son couteau, par peur de faire face à un inconnu, et le potentiel tueur. Mais c'est une jeune femme qui se présente à elle, l'air étonnée de trouver Amaya au milieu de la scène de crime. Cette dernière reste immobile en la regardant. Les cheveux courts et noirs, ses yeux de la même teinte, elle correspond parfaitement à la description qu'on lui a faite de sa future coéquipière. Elle essaie d'esquisser un petit sourire pour briser cette atmosphère de méfiance et tenter de faire connaissance, de manière la plus amicale possible: "Vous êtes bien Lizbeth Nightingale ? Je suis enchantée de faire votre connaissance. Je suis désolée de ne pas vous avoir attendu dehors, à vrai dire, je ne savais pas si je pouvais rentrer. Mais j'ai quand voulu voir au plus vite, la scène de crime. J'espère que vous ne m'en voulez pas." Elle tend doucement la main en gardant un léger sourire.


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Mer 27 Mai - 8:38
Gardez l'oeil ouvert

Mission - Quand deux soeurs qui ne se reconnaissent pas traquent ensembles un tueur en série

Elle parcourait les longs couloirs de sa caserne lorsqu’elle s’est faite interpellée par un supérieur de l’armée. Infiltrer le gouvernement ne possède pas que des bons côtés, loin de là. Entre autres, elle n’aime pas recevoir d’ordres qui viendraient de personnes autres que Malik ou sa Reine. Pourtant, elle doit se soumettre bien docilement à la hiérarchie de l’armée et ce avec le sourire, comme l’aurait fait la bien trop naïve Edo-Lizbeth. Ainsi, un salut militaire et un « A vos ordres ! » plus tard, elle se retrouve à devoir enquêter sur les agissements d’un possible tueur en série, ou d’une organisation illégale récente non encore répertoriée, avec une membre de la troisième division. Il n’est pas rare de mélanger ainsi les divisions afin de profiter du meilleur de chacun sur le terrain. Mais elle ne sait rien de cette Amaya Mitsuki, et elle n’aime pas vraiment travailler avec des gens qu’elle ne connait pas -même si Edo-Liz adore, elle fait donc semblant d’être enjouée. Si cela améliore en effet leurs capacités d’adaptation, il n’en reste pas moins qu’elles seront moins efficaces à faire équipe avec une personne sont elles ne savent rien et dont elles ne connaissent pas les méthodes.

Cela dit, même si la mage des sons n’est pas ravie à l’idée de recevoir des ordres, ni à l’idée de faire équipe avec une inconnue, il faut reconnaitre que la mission qui lui est confiée ne lui déplait pas tant que ça. Qu’il s’agisse d’un tueur en série, d’une guilde illégale non répertoriée ou encore d’une organisation quelconque, elle n’aime pas que qui que ce soit puisse faire d’ombre à sa Reine…Les ennemis potentiels doivent être arrêtés avant de devenir de véritables menaces, c’est ainsi que l’on avance.

Elle lit les dossiers en retournant dans ses quartiers. Elle ne trouve pas de véritables points communs entre les victimes, qui vivaient respectivement à Corel, Baladria, et Louen pour la dernière en date. Du moins, il n’y a rien qui saute vraiment aux yeux. Mais le mode opératoire est à chaque fois identique : les sorts de protections qui protégeaient la maison ont été déjoué, visiblement avec une aisance déconcertante, les victimes ont été tuées dans leur sommeil. Et, comme pour inciter à ce que l'on vienne à sa poursuite, l'auteur des crimes a laissé derrière lui un symbole dessiné sur le mur avec le rouge à lèvre de ses victimes. Le symbole n'est pas même connu de la troisième division, ce qui laisse à penser qu'il s'agit soit d'un psychopathe qui agit seul, soit d'une petite organisation très récente. Pour que les crimes se soient produits si loin les uns des autres, à première vue, Lizbeth miserait plutôt sur la seconde option, mais elle ne peut pas s'avancer sans en savoir plus.

L'enquête démarre sur un autre continent, et elle promet de durer un certain temps. Alors, elle prépare quelques affaires avant de partir pour le continent Mideel. Elle regarde les paysages durant tout le trajet, passe un rapide coup de fil à Maddox pour l'informer de ses agissements et de son indisponibilité des prochains jours. Elle ne s'en fait pas. Même si ça la tue de ne pas être auprès des Reapers, elle sait que son compagnon et toute la garde prendront bien soin de leur Reine. Elle sait aussi que ce genre de sacrifices sont indispensables pour qu'elle garde sa place au sein de l'armée, ce qui offre un avantage de poids à sa guilde. La conversation ne dure que quelques minutes et elle raccroche. Elle ferme les yeux, profite de la brise. Lorsque l'engin atterrit, le voyage lui a semblé bien long.

Elle ne fait aucun détour et se rend immédiatement à Louen, sur les lieux de la scène du crime. Elle observe un moment la bâtisse aux airs de maison de famille bien calme, restant à l'extérieur. L'homme qui se charge de garder la scène et qui ne se trouve là que pour s'assurer qu'aucun curieux ne pénètre dans le lieu lui fait savoir que sa coéquipière l'attend déjà à l'intérieur. Il a dû être prévenu de l'arrivée des deux militaires avec la consigne de les laisser fait leur boulot. Intérieurement, Lizbeth soupire. Mais sur son visage se dessine un doux sourire. « Merci. » Souffle-t-elle en dépassant son niveau pour entrer.

Elle parcourt le rez-de-chaussée dans un premier temps, contemple d'un œil ennuyé les effets personnels et les photos de la victime. A en juger par le mobilier, elle ne devait pas vivre seule ici, sans doute le meurtrier a profité d'une occasion ou l'autre habitant de l'endroit se trouvait absent. Le garde dehors doit sans doute savoir où se trouve cet homme, elle se note dans un coin de la tête de l'interroger là-dessus en partant. Elle délaisse cet étage, que l’armée a sans doute déjà passé au peigne fin et où elle ne devrait plus trouver grand-chose. L’enquête, de toute façon, ce n’est pas son domaine de prédilection. Là-dessus, elle compte plus sur Amaya. Mélanger ainsi les divisions permet de tirer le meilleur de chacun, tout en aidant l’autre à s’améliorer. Malgré ses réticences premières, elle ne doute pas qu’elle pourra apprendre quelques petits choses en travaillant avec elle.

Elle monte à l’étage, la pièce dans laquelle s’est passé le drame saute immédiatement aux yeux : en plus de la surveillance du dehors, cette pièce est condamnée par des rubans interdisant d’y pénétrer. Elle soulève le ruban pour passer en dessous et voit, de dos, sa coéquipière. La présence de Liz semble la surprendre. Aussi, elle ne fait plus un geste et reste simplement immobile, en contemplant cette femme aux cheveux aussi noirs que les siens. Elle est envahie par un petit sentiment de nostalgie, qui s’envole aussi vite qu’il est arrivé. « Vous êtes bien Lizbeth Nightingale ? Je suis enchantée de faire votre connaissance. Je suis désolée de ne pas vous avoir attendu dehors, à vrai dire, je ne savais pas si je pouvais rentrer. Mais j'ai quand voulu voir au plus vite, la scène de crime. J'espère que vous ne m'en voulez pas. » Comme elle lui offre un petit sourire, Lizbeth lui offre en retour un sourire radieux qui serait digne de l’Edo-Liz dont elle a pris la place. Elle prend la main qui lui est tendue. « Je suis ravie. » Murmure-t-elle pour terminer les présentations et formules de politesses qui ne sont pas vraiment son truc. « On peut laisser de côté les convenances sociales, si ça te va comme ça. » Le vouvoiement, entre autres, ce n’est vraiment pas son truc.  « Est-ce que tu as trouvé quelque chose ? » Demande-t-elle en faisant un rapide tour de la pièce tout en écoutant ce que sa coéquipière à lui dire.

Voilà une chose qui n’était pas précisé dans le rapport qu’elle a lu : les causes du décès. Le crime, pourtant, a dû être violent. Le lit est teinté de sang et les draps qui semblaient être blancs de prime abord sont désormais d’un rouge qui commence déjà à tirer sur le brun en séchant. Mais ce n’est pas tout, les éclaboussures de sang, très nombreuses, contre le mur laissent à penser qu’il ne s’est pas contenté d’un coup, il a dû s’acharner. Était-elle déjà morte, ou s’est-il acharné à faire souffrir une femme déjà à l’agonie ? « Je n’ai pas eu les rapports d’autopsie, est-ce que tu les as lus ? » Demande-t-elle en quittant les traces de sang du regard pour reporter son attention sur Amaya. « Les photos que j’ai vu en bas me laissent à penser qu’elle n’était pas seule ici tout le temps, je suppose que son compagnon est ou a été interrogé, peut-être qu’on devrait commencer par ça ? » Propose-t-elle. Mais en réalité elle n’est pas l’enquêtrice du duo et elle se pliera bien volontiers à la façon de faire de sa camarade dont la division est bien plus axée sur ce genre de choses.


CODAGE PAR AMATIS
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Lun 31 Aoû - 16:18
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Chapitre 3
Gardez l'oeil ouvert
ft. Lizbeth Nightingale


Trois femmes ont été retrouvées mortes chez elle respectivement à Corel, Louen et Baladria. Le mode opératoire est à chaque fois  le même : le meurtrier s’est introduit chez elles dans la nuit en réussissant à déjouer leur maigre sort de protection, les a tué dans leur sommeil, et, en partant, il a laissé un symbole sur le mur écrit avec le rouge à lèvres de ses victimes. Le symbole ne représentant aucune guilde illégale répertoriée, on soupçonne un psychopathe, ou alors une petite organisation très récente.

La jeune femme aux cheveux noirs sourit avec sympathie. Amaya semble rassurée sur le moment ; elle n'a pas l'air bien méchante. "Je suis ravie. On peut laisser de côté les convenances sociales, si ça te va comme ça. Est-ce que tu as trouvé quelque chose ?" La jeune soldate lance un regard sidéré sur la scène de crime. Comment peut-on agir avec autant de violences ? L'état de cette pièce était indescriptible puisque tout est effrayant: les traces de rouge à lèvres, les draps maculés de sang et c'est tout. Pas de traces de luttes, pas de meubles renversés, juste des éclats rougeâtres sur un blanc autrefois immaculé. Amaya pousse un profond soupir face à ce spectacle et se tourne vers sa coéquipière: "Non, à vrai dire, je viens juste d'arriver. Je ne sais rien de ce qui s'est passé malheureusement, on va devoir demander l'autopsie, enquêter et trouver à nous seules. Je suis extrêmement choquée par la violence du crime, je ne m'attendais vraiment pas à ça." Lizbeth répond à son tour, l'air songeuse, à son tour obnubilée par les tâches de sang: "Je n’ai pas eu les rapports d’autopsie, est-ce que tu les as lus ? Les photos que j’ai vu en bas me laissent à penser qu’elle n’était pas seule ici tout le temps, je suppose que son compagnon est ou a été interrogé, peut-être qu’on devrait commencer par ça ?" Amaya secoue la tête en signifiant à la jeune femme qu'elle n'a pris connaissance de l'autopsie. "Je propose qu'on aille demander quelques informations à la police qui s'est occupée de transporter le corps et de délimiter la scène de crime. Tu as raison, il vaut mieux ensuite aller voir son compagnon."

Avec un sourire, Amaya invite sa coéquipière à la suivre. Elle descend les escaliers à vive allure et sort. Elle prend à parti un tout jeune policier, l'air troublé. Elle devine que ce doit être le premier corps assassiné qu'il voit de sa carrière. "Bonjour monsieur, nous enquêtons sur cette affaire, pouvez-vous nous en dire plus sur vos recherches ? C'est très important. Nous sommes peut être en mesure de pouvoir arrêter ce fou." Le jeune policier regarde les deux femmes avec surprise avant de se retourner pour appeler son supérieur hiérarchique qui vole immédiatement au secours de sa nouvelle recrue. "Bonjour mesdames. Tout ce que nous savons pour le moment, c'est que la jeune femme assassinée a reçu plusieurs coups de couteaux, principalement dans le cou et la poitrine. Celle-ci a probablement dû se défendre contre le criminel: quelques uns de ses ongles sont arrachés, elle a des hématomes sur l'abdomen et les cuisses. Nous l'avons retrouvé dans un état lamentable et nous pensons qu'après même sa mort, il a continué à la malmener. Pas de traces d'ADN ni rien. Mon équipe fait des prélèvements du rouge à lèvres mais je ne pense pas qu'on va trouver quelque chose… C'est exaspérant. Et il profite sûrement du fait qu'on ait le dos tourné pour s'en prendre à quelqu'un d'autre !" Amaya encaisse les maigres informations délivrées par le policier. Il n'y a aucune indice, rien de vraiment intéressant. Les choses vont être compliquées. Elle lance un regard embêté à Lizbeth avant de répondre: "Merci pour les infos. Savez-vous où l'on peut trouver le compagnon de cette femme ?" Le jeune policier, ne se sentant pas concerné par cette discussion, s'éclipse. Son chef le regarde partir. "Il est actuellement interrogé au commissariat de Louen, je vous y emmène si vous voulez".  Amaya regarde sa coéquipière pour attendre son approbation et suit le policier.

Une fois arrivés au commissariat de Louen, les policiers emmènent les deux jeunes femmes derrière la pièce où se trouve l'interrogatoire, dissimulée derrière une vitre que l'interrogé perçoit comme un miroir. Amaya regarde le compagnon de la femme assassinée, un homme qui a environ la quarantaine, les cheveux poivre et sel et le regard perdu. Ses traits sont tirés, probablement de douleur. En une nuit, il perd sa femme, sa santé, sa dignité. C'est apparemment un homme distingué, connu dans toute la ville. Il semble éviter le regard de la policière qui l'interroge depuis des heures, elle-même à bout de nerfs face à l'attitude fuyante de l'homme. Amaya se tourne vers le policier: "Avons-nous le droit de l'interroger ? Votre collègue a l'air bien fatiguée. Personnellement, j'ai mes propres méthodes pour faire cracher des indices." Le policier secoue les épaules. "Allez-y si ça vous chante mais il n'est pas bien bavard."

Amaya, suivie de sa coéquipière, entre dans la pièce. Elles croisent la policière qui pousse un énorme soupir et qui quitte la pièce en fermant violemment la porte. La soldate lance un regard interrogateur à Lizbeth avant de venir se placer face à l'homme. Celui-ci n'a pas d'ailleurs pas relevé la tête et reste prostré sur sa chaise, complètement abattu. "Monsieur, savez-vous quelque chose sur la mort de votre femme ? Nous avons besoin d'un indice, n'importe lequel. De nombreuses vies sont encore en danger tant que le criminel est dans la nature" Mais l'homme ne répond pas, sa tête reste tournée vers le sol. "Monsieur, s'il vous plaît, c'est important. Vous êtes le seul à avoir peut être vu quelque chose." L'homme ne bouge pas. Amaya sait juste qu'il est en vie parce qu'elle le voit battre les paupières. Même si Lizbeth a l'air très gentille et conciliante, elle n'ose pas employer la manière forte à côté d'elle. Amaya le prend par les cheveux pour relever sa tête "Ne m'obligez pas à devenir méchante. Votre silence vous rend complice de ce crime" Peut être a-t-il vraiment vu quelque chose et qu'il n'ose pas parler ? Ou alors, on a tout fait pour le dissuader de la ramener ?



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Mer 4 Nov - 8:34
Fin du RP

Suite à la suppression d'un des membres, nous clôturons ce rp !
La quête est remise à disposition.

Lizbeth reçoit 1 point d'influence.
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