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Black hole sun, won't you come † Richard
Erza Knightwalker
Affiliation : Résistance
Magie : Lance "Ten Commandments"
Disponibilité : Svetlana - Richard
Inventaire : - Lacrima d'invocation Ramuh (2)
- Cape d'invisibilité
- Matériaux précieux pour la Forge
- Matériaux très précieux pour la Forge
- Lacrima-Rappel
Erza Knightwalker
Gardienne de la Galaxie



Dim 17 Mar - 17:41

Sonowalker
Black hole sun, won't you come
L'aube se déployait sur une base militaire qui ne comptait toujours pas River Pierce en son sein. Ce fut dans le souffle tiède et rosé de l'aurore que la commandante, qui n'avait pas fermé l'œil de la nuit, chevaucha les vastes étendues d'Edoras en direction des forêts de Narshe. Juchée sur le dos de sa bête de guerre, elle se tenait agenouillée, lance reposée, son regard acéré déchirant les voiles de brume matinale. Son odyssée la conduisit à s'écraser contre les entrailles d'une structure militaire ennemie – une carcasse vide, un leurre déserté. On n'osait plus gaspiller des vies dans une vaine tentative de la cerner comme on avait cerné Pierce. Elle n'était pas faite du même cuir que lui. Jamais elle ne sacrifierait sa vie, tel un pion négligeable, pour sauver un camarade dont les prouesses au combat ne lui arrivaient pas à la cheville. La bonté de River l'avait perdu cent fois et, le jour où il serait tiré d'affaire, elle le perdrait encore et encore. Quel homme épuisant.

Ainsi, le retour à la base se fit dans le silence d'une mission inaboutie, un retour sans triomphe ni trophée, dans la lumière dorée d'un soleil qui, désormais haut dans le ciel, semblait se moquer des affaires humaines. La commandante rentrait les mains vide. La détermination gravée sur son visage, elle se mit en marche vers l'enclave secrète qui abritait les quartiers de la troisième division. Le cliquetis de son armure résonnait sèchement dans ce sanctuaire de stratégies, qu'elle avait si peu honoré de sa présence durant sa carrière. Devant elle, le bureau du commandant, le cœur battant de cette division insaisissable, attendait.

La porte s'ouvrit. Un grand fracas se fit entendre. Sur le seuil se tenait Knightwalker, à moitié couverte de saleté, une trace de suie lui barrant la joue. Malgré son apparence défraîchie, elle affichait une stoïcité inébranlable. Son regard, calme et scrutateur, se posa sur Richard sans ciller. Puis, son bras s'étendit. Sa main toqua trois coup à la porte ouverte et à moitié défoncée, qu'elle venait d'encastrer dans le mur. Provocation, ou protocole tardif ? Son expression impénétrable ne laissait rien paraître quant à la signification de son geste. Elle s'avança, plombant l'atmosphère par son silence. Se laissant tomber sur le siège qui faisait face au bureau, Erza y posa ses mains jointes. Elle fit tourner ses pouces entre eux lentement, avec insistance, comme si ce geste revêtait une importance capitale.
Enfin, elle parla.

« Laisse-moi quelques secondes. J'essaie de me mettre dans la peau d'un membre de ta division. »

Elle poursuivit les lents tournoiements de pouce, une, deux, trois, quatre secondes. Laissant le temps à l'insulte de se fondre dans la peau du commandant, afin de lui passer l'envie de faire les yeux doux. Sa réputation le précédait, en effet. Elle n'importait guère à Knightwalker ceci dit : s'il était aussi doué à faire son travail qu'il était médiocre à charmer une femme, cela pouvait très bien lui convenir. Hélas, ce talent restait à prouver. Une esquisse d'ironie plia le coin de sa bouche.

« C'est addictif. » conclut-elle. « Je pourrais faire ça toute la journée. »

Erza ne connaissait pas d'autre moyen d'exprimer sa peur, son désarroi, ou sa tristesse, que par la colère et le mépris. Cela donnait l'illusion d'une absence de faiblesse. On pouvait la haïr pour ça. Mais ne la haïrait-on pas davantage, si après qu'on eut misé toute une division de guerre sur elle, la jeune femme se révélait mauviette ? Elle ne flancherait jamais. Ce n'était pas une possibilité, ce n'était même pas un droit.

La dureté s'empara de son regard. Son dos s'enfonça dans son siège et ses mains gagnèrent les accoudoirs, cessant de singer le travail d'un glandeur.

« Richard. » dit-elle gravement. « Où est River ? »


« Je croyais que c'était un excellent chasseur.
— Oui, et Hannibal Lecter était un excellent psychiatre. »
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Richard Sokonashi
Affiliation : Résistance
Magie : Aucune
Richard Sokonashi
Souquez les artimuses !



Dim 17 Mar - 19:17
Black Hole Sun
Le matin était agité. Depuis plusieurs jours le blondinet ne fermait pas beaucoup l’œil. Il travaillait d’arrache-pied pour sauver son camarade. Il détestait ça, il détestait se sentir impuissant. Il avait même envoyé ses contacts aux guildes. Il leur fournissait des infos et attendait de l’aide en retour. Ça marchait bien avec la guilde de la dopplegänger de sa chère Erza. Il savait que c’était la Guilde qui avait accueilli sa majesté Mystogan durant son temps sur l’autre monde. Ils ne les remercieraient jamais assez et avait conclu une sorte d’accord, ne sachant jamais si avec leur Maître Laxus, si c’était du lard ou du dragon.

Les rapports qu’il avait depuis quelques jours étaient tristement inutiles ou vide. Il savait aussi qu’Erza, sa douce et tendre Erza se démenait pour trouver notre cher disparu. River Pierce. L’imbécile, mais beaucoup feraient son sacrifice. Maintenant, ce sont les autres qui devaient payer les pots cassés à savoir le chercher. Mais il ne dirait rien, il était assez stupide lui-même pour faire le même geste. Le chef des espions était assis dans son bureau, une cigarette à moitié consumée dans le bec. Il jouait avec son lourd briquet tout en lisant des parchemins. Il aimait pas ce qu’il lisait. Vu que les mouvements de Blood Moon ou ceux de Soul Reaper avaient repris, il était presque débordé. Malheureusement aucun ne mentionnait le Sergent-chef Pierce et ça avait le don de l’agacer. Il balança la moitié de son bureau au sol avant de faire les cent pas pour réfléchir.

Il venait de donner une paire d’ordres lorsque la porte se fracassa contre le mur. Les yeux du fumeur sortirent aussitôt de leurs orbites, son cœur explosant dans sa poitrine. La Reine de son cœur, la déesse de son amour venait d’entrer dans la pièce. Même ainsi, même avec son allure de souillon, elle illuminait la pièce. Alors qu’il allait exploser de joie, il comprit qu’elle n’était pas d’humeur et prit le temps qu’Erza s’avance pour reprendre contenance. Une fois assise, Richard la regarda faire son manège. Il ne lui en voudra pas. Erza était une guerrière avant tout. Le boulot de gratte-papier lui passait au-dessus de sa très jolie crinière. Richard sourit calmement avant de lui tendre un parchemin. C’était son rapport, enfin celui que venait de lui rendre un de ces hommes. Le document indiquait que des témoins avaient été trouvé sur ce qu'il s'était passé avec un membre de l'armée royale. Ils indiquaient qu'il avait été vu enchainé. Mais d'après les hommes de Rick, cet évènement avait déjà plusieurs jours.
"Les infos ont une journée. Mais je n’ai rien de mieux pour le moment."
Il alla à un petit meuble sur lequel trônait un plateau d’argent, ainsi que de quelques bouteilles de verre délicatement ouvragés. Il se servi un verre et en proposa un à son amie. Il revint finalement à son bureau. Il reprit calmement.
"Contrairement à ce que tu sembles croire Erza-chwan, je ne glande pas. C’est juste long."
Sa nature profonde, l’amoureux transi de la belle Erza reprit le dessus. Comme complètement bourré, les yeux balançant des cœurs dans tous les sens, il s’approcha d’elle.
"Maintenant que je t’ai donné ce que tu voulais, allons diner ensemble."
by Didi Farl pour Never-Utopia
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Erza Knightwalker
Affiliation : Résistance
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Erza Knightwalker
Gardienne de la Galaxie



Mar 19 Mar - 0:06

Sonowalker
Black hole sun, won't you come
S'il y avait bien une chose qu'on pouvait accorder à Richard, c'est qu'il demeurait égal à lui-même quand Erza Knightwalker décidait, un jour choisi au hasard, de l'écraser au rouleau compresseur. Il restait immuable, tel un rocher face aux vagues tumultueuses de l'océan. Rien que pour cela, son statut de commandant ne pouvait pas avoir été volé, mais elle espérait que son talent ne s'arrêtait pas à un mental en béton armé. Il lui fallait des résultats. Lorsque vint le moment où le silence se brisa et que la réponse de Richard fendit l'air comme une flèche précise et tranchante, Erza perdit momentanément son masque d'indifférence. Sa chaise racla tandis qu'elle se leva, abandonnant sa nonchalance comme une vieille étoffe usée. Elle s'empara du rapport avec la rapidité d'un charognard, une lueur d'espoir dans les yeux.

« Erza » corrigea-t-elle, ne supportant pas le titre dont il osait l'affubler.

Son regard parcourut quelques lignes. Pendant ce laps de temps, Richard, ignorant tout de l'orage intérieur qui secouait sa supérieure, adopta l'attitude décontractée de celui qui tient salon. C'était là sa fortune, car si Erza n'avait pas été absorbée par le tumulte des informations qu'elle déchiffrait, elle lui aurait volontiers enfoncé un bouchon de whisky dans le nez jusqu'à ce qu'il atteigne le cerveau, ou du moins le sommet de sa boîte crânienne s'il n'y en eut guère.

Un Saber avait été témoin de l'apparition de la base ennemie à Solest. Un héliport s'était posé tout près, sans doute pour en recueillir les mages et River. Tandis que son doigt parcourait les lignes du rapport avec incrédulité, Erza assemblait les fragments. Un autre témoin faisait la description de ce même l'héliport qui avait été mis en halte dans sa ville, Troïa, par des agents de la lune dont il faisait partie. Cet espion à la faveur de Fairy Tail était à l'origine de la description faite de River, qu'il n'avait apparemment qu'entraperçu. Il en avait même dessiné le portrait. Erza écarquilla les yeux d'effroi.

« Quelle horreur, on dirait un dessin d'Ethan. »

L'offre de Richard, qui se croyait déjà en droit de fêter la fin de sa journée, fut balayée par une totale indifférence.

« C'est bien léger de considérer qu'il s'agit de Pierce... » poursuivit-elle pensivement en plissant les yeux.

Les phalanges de sa main droite frottèrent le papier, comme si cela gommerait un peu d'horreur pour laisser place à un visage familier. Elle cessa son geste. Une découverte venait de capter toute son attention. Sous la caricature chaotique aussi démembrée qu'un Picasso, les détails mentionnés à propos de la taille du prisonnier lui suggéraient qu'il s'agissait peut-être bien de River.

« Oh. Je vois. »

L'auteur de l'esquisse avait noté que les pilotes de l'héliport n'étaient que de passage, leur destination étant le Nord. Absorbée par la lecture du rapport, Erza ne remarqua que trop tard que Richard empiétait dangereusement sur son espace personnel. Sa main arrêta son faciès, la paume écrasant son nez, ses doigts rampant de part et d'autre de son visage comme un araignée. Elle n'avait pas cherché à être impolie ; après tout, il était lui aussi un commandant. Mais il ne lui avait pas laissé d'autre choix.

« J'aurai ce que je veux quand nous l'aurons retrouvé. Pas avant. »

Normalement, l'attention de Richard aurait pu la troubler. Bien sûr, Erza était habituée aux regards ; elle n'était pas repoussante, et il y avait si peu de femmes dans l'armée. Mais elle ne connaissait personne, absolument personne, qui aurait osé même rêver d'envisager l'idée d'un rendez-vous avec elle. Elle n'était pas ce que l'on pourrait appeler une femme idéale. Était-elle seulement une femme ? Bon nombre la comparait à un Behemoth.

Elle repoussa sèchement le visage du blond.

« Notre meilleur élément est à la merci de l'ennemi, il est probablement torturé depuis le début de sa captivité. Est-ce une plaisanterie pour toi ? »

Sans Pierce, leur cause était perdue. Il valait une armée à lui seul, et certainement pas la leur, vu le nombre d'incapables qui la constituaient. Sa voix monta d'un octave.

« Tu me lances des informations vaseuses, et tu penses que ta part est faite?! »

Elle se retint de lui jeter les feuilles de rapport au visage, tout à fait de justesse. À  la place, elle les écrasa sur son torse. Plus qu'assez de tourner en rond. Il était temps de réussir, pas seulement d'agir.

« Je vais prendre une douche et enfiler une tenue plus chaude. À  mon retour, tu as intérêt de m'avoir trouvé des cibles viables à frapper. Sans indication de ta part, c'est mon instinct que je suivrai. Je joue ma vie aujourd'hui. La gaspilleras-tu ? »

Elle lui jeta un dernier regard noir avant de quitter le bureau.



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Richard Sokonashi
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Richard Sokonashi
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Mar 26 Mar - 18:29
Même si Richard était désinvolte, et semblant totalement indifférent, le Commandant de l’espionnage faisait son travail. Pas aussi vite que la rousse le souhaitait visiblement. Pendant qu’il sirotait son verre, Erza buvait le texte du rapport. Le blondinet était quelque peu cavalier mais il savait aussi être sérieux.

Quand il prit la main de son Erza sur le visage, il faillit exploser. Mais ses mots le frappèrent en plein cœur comme si on le poignardait. Il arrêta tout de suite sa frivolité, reprenant un visage sérieux. Il alluma une nouvelle clope. River était prisonnier, il en était conscient. Il savait aussi ce qui l’attendait dans les griffes de la Lune. Mais ce n’est pas parce qu’il faisait l’imbécile qu’il n’était pas au fait du sort qui attendant le sergent-chef. Après avoir éteint son briquet, le cuisinier répondit à Erza.
"Tu auras les infos dont tu as besoin. Si tu as besoin d’un coup de main, je suis là. N’oublie jamais que je laisse jamais tomber un camarade. Mes hommes parcourent le pays à la recherche de la moindre info. Contrairement à toi qui est libre de voyager par monts et par vaux en rentrant ici en espérant dégotter une nouvelle fraîche, je suis enchainé à ce bureau la plupart du temps pour compulser, vérifier et compiler tous les rapports. Personne ici ne le fait avec autant d’efficacité que moi."
Il cracha la fumée en l’air avant de reprendre.
"Alors, non, la recherche de River n’est pas une plaisanterie, c’est tout l’inverse. C’est éreintant, mais pas comme toi."
Le blondinet aurait exulté à l’idée de voir sa belle prendre une douche mais il resta stoïque, oui, il le pouvait quand la situation l’exigeait.
"Va te rafraichir. Quand tu reviendras, tu auras une vraie piste."
Et là ce n’était pas des paroles en l’air. Il allait trouver un débile de la Lune pour répondre à Erza. Il en faisait la promesse.
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Erza Knightwalker
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Erza Knightwalker
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Ven 12 Avr - 12:53

Sonowalker
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« Si tu le dis »

Richard donnait l'impression d'être détaché de tout, chaque fois que la fumée d'une cigarette s'échappait nonchalamment de ses lèvres. Knightwalker se trouva toutefois quelque peu soulagée de constater que l'ardeur avec laquelle il s'adonnait à la boisson serait, du moins pour l'instant, reléguée au second plan. Il lui restait à peine une quinzaine de minutes pour dénouer le fil d'Ariane de cette situation embrouillée et trouver plusieurs pistes plausibles.

Erza abandonna les confins désordonnés de la troisième division, ne jetant pas même un regard à la porte démantelée qu’elle laissait derrière elle, et se dirigea d'un pas résolu vers la section des officiers supérieurs. Arrivée dans sa chambre, ses vêtements, souillés et malmenés par les événements de la journée, furent jetés avec une rapidité qui rappelait les transformations fulgurantes de Scarlett lors de ses rééquipements légendaires. Une douche expéditive plus tard, elle attacha ses cheveux à moitié séchés et revêtit son habit d'hiver avec une précision militaire, ajustant sur son pantalon de nylon la ceinture d'équipement en cuir noir qui soulignait sa silhouette martiale.

En quittant le quartier des gradés, elle noua à son cou sa cape bordée de fourrure. C'est à ce moment-là qu'on vint l'informer que Richard ne se trouvait plus à son bureau. Le blond était à présent engagé dans une discussion serrée avec un soldat de la Nuit. Les années avaient passé depuis la dernière fois qu'elle avait assisté à un interrogatoire mené par la troisième division, et il était probable que les méthodes eussent évolué. De son côté, Knightwalker avait maintenu une approche plus directe et brutale sur le terrain, là où la force des poings suppléait à la finesse des mots dans la récolte d'information. C'était une méthode d'une certaine efficacité, pour peu que l'on sache exactement quelles questions poser.

Elle entra dans la salle d'interrogatoire. Là, attaché sur une chaise rudimentaire au centre, se trouvait le prisonnier. Des liens robustes d'anti-magie enserraient ses poignets et ses chevilles, le maintenant fermement en place. Une barbe de plusieurs jours accentuait les ombres creuses sous ses yeux sombres. Ses vêtements, autrefois peut-être de bonne facture, étaient usés et tachés. Sa tête était légèrement inclinée, mais à l'entrée de Knightwalker, ses yeux se levèrent pour la rencontrer. La commandante soutint froidement son regard, avant de s'approcher de la table adossée au mur. D'un geste sec, elle y défroissa la carte de Norest. Puis, se tournant vers Richard, les bras croisés sur sa poitrine, elle attendit la suite.


« Je croyais que c'était un excellent chasseur.
— Oui, et Hannibal Lecter était un excellent psychiatre. »
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